- Zehnte Umfrage der Allianz Global Corporate & Specialty: Betriebsunterbrechung, Pandemie-Ausbruch und Cyber-Vorfälle sind die drei wichtigsten Geschäftsrisiken für 2021 – sowohl in der Schweiz als auch weltweit
- Pandemie-Ausbruch schiesst im weltweiten Ranking von Platz 17 auf Platz 2 und in der Schweiz von Platz 14 auf Platz 3. Die Pandemie wird als Hauptursache für Betriebsunterbrechungen im Jahr 2021 angesehen
- Folge der Pandemie: Unternehmen wollen Risiken in Lieferketten reduzieren und das Business Continuity Management für extreme Ereignisse stärken.
Allianz Risiko Barometer 2021: Covid-19-Trio an der Spitze der Unternehmensrisiken
„Das Allianz Risk Barometer 2021 wird eindeutig von dem Covid-19-Trio dominiert. Betriebsunterbrechung, Pandemie und Cyber sind stark miteinander verknüpft und zeigen die wachsende Verwundbarkeit unserer hochgradig globalisierten und vernetzten Welt“, sagt Joachim Müller, CEO von AGCS. „Die Coronavirus-Pandemie erinnert uns daran, dass sich das Risikomanagement und das Business Continuity Management weiter entwickeln müssen, damit Unternehmen besser gegen extreme Ereignisse gewappnet sind und diese überstehen können. Während die Pandemie viele Länder auf der ganzen Welt weiterhin fest im Griff hat, müssen wir uns auf häufigere Extremszenarien einstellen – beispielsweise einen globalen Cloud-Ausfall oder Cyberangriff, Naturkatastrophen aufgrund des Klimawandels oder sogar einen weiteren Seuchenausbruch.»
Die Covid-19-Krise stellt weiterhin eine unmittelbare Bedrohung für die individuelle Sicherheit und für Unternehmen dar – mit der Konsequenz, dass das Risiko weltweit andere Gefahren verdrängt hat und um 15 Positionen auf Platz 2 der Rangliste gestiegen ist. Vor Corona war es in den zehn Jahren des Allianz Risk Barometers nie höher als auf Platz 16 gelandet, was zeigt, dass es ein deutlich unterschätztes Risiko war. Im Jahr 2021 ist es jedoch in 16 Ländern das Top-Risiko und ausserdem unter den drei jeweils grössten Risiken auf allen Kontinenten und in 35 der 38 analysierten Länder.
BU-Risiken standen bereits sieben Mal an der Spitze des Allianz Risiko Barometers, und sie kehren nun auf Platz 1 zurück, nachdem sie im Jahr 2020 von Cyber-Vorfällen abgelöst worden war. Die Pandemie zeigt, dass extreme BU-Ereignisse globalen Ausmasses nicht nur theoretisch, sondern eine reale Bedrohung sind, die zu massiven Umsatzverlusten und Unterbrechungen von Produktion, Betrieb und Lieferketten führen kann. 59% der Befragten nennen die Pandemie als Hauptursache für BU im Jahr 2021, gefolgt von Cyber-Vorfällen (46%) sowie Naturkatastrophen und Feuer und Explosionen (jeweils rund 30%).
Die Pandemie reiht sich damit in die wachsende Liste der BU-Szenarien ohne voran gegangenen Sachschaden wie Cyber- oder Stromausfälle ein. „Die Folgen der Pandemie – eine breitere Digitalisierung, mehr Arbeit von zu Hause und die wachsende Abhängigkeit von Technologie in Unternehmen und Gesellschaft – werden die Betriebsunterbrechungsrisiken in der Schweiz künftig wahrscheinlich erhöhen», erklärt Christoph Müller, Country Manager AGCS in der Schweiz. Als Reaktion auf die erhöhte BU-Anfälligkeit sind viele Unternehmen bestrebt, ihre Betriebsabläufe widerstandsfähiger zu machen und ihre Lieferketten robuster zu gestalten. Laut den Befragten des Allianz Risk Barometers ist die Verbesserung des Business Continuity Managements die wichtigste Massnahme, die Unternehmen ergreifen wollen (62%), gefolgt von der Entwicklung alternativer oder mehrerer Lieferanten (45%), Investitionen in digitale Lieferketten (32%) und einer verbesserten Lieferantenauswahl und -prüfung (31%).
Cyber-Vorfälle sind im weltweiten Ranking zwar auf Platz 3 zurückgefallen, bleiben aber eine der Hauptgefahren mit mehr prozentualen Antworten als im Jahr 2020 und rangieren immer noch als Top-3-Risiko in vielen Ländern, einschliesslich der Schweiz (Platz 2). Auch die durch die Pandemie getriebene Beschleunigung hin zu mehr Digitalisierung und Home-Office verschärft die IT-Schwachstellen weiter. Covid-19-bezogende Malware- und Ransomware-Vorfälle haben laut INTERPOL 2020 um mehr als ein Drittel zugenommen, Phishing- und Betrugsvorfälle sind sogar um die Hälfte angestiegen. Die ohnehin schon häufigen Ransomware-Angriffe nehmen weiter zu und nehmen mit hohen Erpressungsforderungen zunehmend Grossunternehmen ins Visier, wie der aktuelle AGCS-Bericht zu Cyber-Risikotrends zeigt.
„Covid-19 hat gezeigt, wie schnell sich Cyberkriminelle anpassen können. Der Digitalisierungsschub durch die Pandemie hat neue Möglichkeiten für Angriffe geschaffen. Es entwickeln sich ständig neue Cyber-Schadensszenarien“, sagt Catharina Richter, globale Leiterin des Allianz Cyber Center of Competence bei der AGCS.
Weitere Informationen zu den Ergebnissen des Allianz Risk Barometers 2021 finden Sie hier:
https://www.agcs.allianz.com/news-and-insights/reports/allianz-risk-barometer.html
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Allianz Risiko Barometer 2021: Covid-19-Trio an der Spitze der Unternehmensrisiken
- Dixième édition de l’enquête d’Allianz Global Corporate & Specialty: les interruptions d’exploitation, les pandémies et les cyberincidents sont les trois principaux risques d’entreprises en 2021, en Suisse et dans le monde entier.
- Le risque de pandémie est passé de la 17e à la 2e place au niveau mondial et de la 14e à la 3e place en Suisse. La pandémie est considérée comme la principale cause d’interruption d’exploitation en 2021.
- Conséquence de la pandémie: les entreprises veulent réduire les risques dans les chaînes d’approvisionnement et renforcer la gestion de la continuité des affaires en cas d’événements extrêmes.et
«Selon l’Allianz Risk Barometer 2021, les trois risques principaux suivants induits par le Covid-19 menacent les entreprises: les interruptions d’exploitation, les pandémies, et les cyberrisques. Étroitement liés, ils démontrent la vulnérabilité croissante du monde hautement globalisé et interconnecté dans lequel nous vivons, déclare Joachim Müller, CEO d’AGCS. La pandémie de coronavirus nous rappelle qu’il est important de renforcer la gestion des risques et la gestion de la continuité des affaires pour que les entreprises puissent résister et survivre aux événements extrêmes. Alors que la pandémie mondiale fait encore rage dans de nombreux pays, nous devons nous préparer à des scénarios extrêmes plus fréquents, tels qu’une panne de cloud ou une cyberattaque globale, des catastrophes naturelles causées par le réchauffement climatique, ou même une nouvelle épidémie.»
La crise du Covid-19 continue de représenter une menace immédiate pour la sécurité des individus et des entreprises, à tel point que le risque de pandémie a éclipsé d’autres menaces mondiales et est passé de la 15e à la 2e place. Avant le coronavirus, ce risque n’avait jamais été classé plus haut que la 16e place selon l’Allianz Risk Barometer, ce qui montre bien qu’il s’agit d’un risque largement sous-estimé. En 2021, le fait est qu’il s’agit du risque le plus redouté dans 16 pays, et également de l’un des trois premiers risques sur tous les continents et dans 35 des 38 pays analysés.
Les risques d’interruption d’exploitation ont déjà occupé sept fois la 1re place de l’Allianz Risk Barometer, et ils reviennent cette année en première position, après avoir été devancés par les cyberincidents en 2020. La pandémie nous a montré que les événements extrêmes d’interruption d’exploitation à portée mondiale ne constituent pas un danger théorique, mais une menace réelle qui peut entraîner des pertes massives de revenus et perturber la production, les opérations et les chaînes d’approvisionnement. Parmi les personnes interrogées, 59% citent la pandémie comme principale cause d’interruption d’exploitation en 2021, suivie des cyberincidents (46%) et des catastrophes naturelles ainsi que des incendies et des explosions (environ 30% chacune).
La pandémie s’ajoute ainsi à la liste croissante des scénarios d’interruption d’exploitation sans qu’il y ait de dommages matériels préalables, tels que des cyberpannes ou des pannes de courant. «Les conséquences de la pandémie (une plus grande digitalisation, davantage de travail à domicile et la dépendance croissante des entreprises et de la société vis-à-vis de la technologie) sont susceptibles d’accroître les risques d’interruption d’exploitation en Suisse à l’avenir», explique Christoph Müller, Country Manager AGCS en Suisse. Pour contrer cette vulnérabilité accrue, de nombreuses entreprises s’efforcent de rendre leurs processus opérationnels plus résistants et leurs chaînes d’approvisionnement plus robustes. Selon les participants à l’Allianz Risk Barometer, l’amélioration de la gestion de la continuité des affaires est la mesure la plus importante que les entreprises ont l’intention de mettre en œuvre (62%), suivie par le recours plus systématique à des fournisseurs alternatifs ou multiples (45%), l’investissement dans des chaînes d’approvisionnement digitales (32%) et l’amélioration de la sélection et de la vérification des fournisseurs (31%).
Les cyberincidents ont beau avoir été relégués à la 3e place du classement mondial, ils restent une menace de premier plan, avec un taux de réponses plus élevé qu’en 2020, et continuent de figurer parmi les trois premiers risques dans de nombreux pays, dont la Suisse (où ils occupent la 2e place). L’essor de la digitalisation et du télétravail dû à la pandémie a également exacerbé les vulnérabilités informatiques. Selon INTERPOL, les incidents provoqués par des logiciels malveillants et des rançongiciels liés au Covid-19 ont augmenté de plus d’un tiers en 2020, tandis que les cas d’hameçonnage et de fraude ont augmenté de pas moins de 50%. Les attaques par logiciels d’extorsion, déjà plus nombreuses, continuent de se multiplier et ciblent de plus en plus de grandes entreprises avec des demandes de rançons élevées, comme le montre le dernier rapport AGCS sur les tendances des cyberrisques.
«Le Covid-19 a montré la rapidité des cybercriminels à s’adapter. L’impulsion donnée à la digitalisation dans le sillage de la pandémie a créé de nouvelles possibilités d’attaque. De nouveaux scénarios de cyberdommages continuent d’émerger», affirme Catharina Richter, responsable globale d’Allianz Cyber Center of Competence chez AGCS.
Pour en savoir plus sur les résultats de l’Allianz Risk Barometer 2021:
https://www.agcs.allianz.com/news-and-insights/reports/allianz-risk-barometer.html
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